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Début janvier, le temps est tellement doux
pour la saison qu'il serait dommage de se priver d'un peu de
bricolage! J'attaque l'aile arrière gauche. Pouf, un bon coup de
meuleuse dans le Syntho' et place à la tôle; la vraie! Le décapage du
passage de roue est une vraie galère, je hais la personne qui a eu
l'idée de mettre de l'antigravillonnant sur de la tôle ondulée!
Février: Je termine l'aile arrière gauche...
la droite est plus difficile à reprendre car elle est bien enfoncée.
Les jantes et les pare-chocs sont au sablage... Pas facile d'ailleurs de dénicher
un pare-choc arrière en bon état!
Mai, on peut enfin dire que la carrosserie
est débarrassée de toute sa rouille perforante... Et voici qu'un
événement se profil pour début juillet et qu'il n'est plus question de
traîner. Tant pis pour les bosses restantes et les défauts de
finition, il est déjà grand temps de redonner un coup de jeune à la
peinture. C'est donc après avoir retravailler les ailes, les fixations
d'arrêtoirs de portillons, la fixation du hayon (et la
changement de ce dernier) que la première couche d'apprêt est passée.
Rassurez vous, ce dernier a beau être gris, ce ne sera certainement
pas la couleur finale du véhicule!
Eté 2005
Un bon coup de sablage sur les
jantes et les pare-chocs les rendra comme neufs; c'est extrêmement
efficace! Viendra ensuite un revêtement anticorrosion des plus
performant appliqué dans un atelier spécialisé.
Après passage de l'apprêt et
ponçage de ce dernier (rapide je l'avoue mais bon ça reste un véhicule
utilitaire et la carrosserie n'est de toute façon pas impeccable),
place à la peinture définitive. Le compresseur tournera des heures
mais le résultat transforme littéralement l'engin : il est tout d'un
coup beau... tout simplement!
Remontage
de la vitre arrière (c'est long et fatigant!) , des arrêts de
portillons, des feux, des plaques d'immatriculation, des supports de
cric, des chevrons, baguettes, marchepieds, jantes, etc...
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Quand je
vous disais qu'un événement important se préparait...
Ouf, il était prêt à temps et il a
fait la route jusqu'en Bourgogne sans aucun problème en tenant
bien le 90km/h.
Bon, la
restauration n'est pas terminée pour autant; le châssis attend
toujours sa couche d'époxy et l'intérieur un aménagement digne de
ce nom. Côté moteur, quelques travaux sur le culasse sont encore
nécessaires et l'étanchéité de la boite est à revoir... pas de
quoi s'ennuyer!
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